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lundi 12 mai 2014

La femme à barbe gagne l'eurovision 2014.


      Conchita Wurst, de son vrai nom Thomas Neuwirth, transsexuel autrichien, vient de remporter l'eurovision, discréditant encore un peu plus cette compétition qui n'attire plus que has-been et ratés en tout genre le plus souvent, et qui a bien mérité aujourd'hui son titre de farce planétaire. On atteint cette fois ci, grâce aux pressions de la mouvance LGBT internationale, le summum de la vulgarité, de la laideur et du ridicule. Quelle honte ! Afficher aux yeux du monde entier un tel symbole de la décadence du continent européen, le tout avec le sourire et l'air satisfait d'avoir œuvré pour la tolérance (autrement dit d'avoir encore une fois fait de la propagande pour l'homosexualité) et la paix. 
    
     Parlons-en de la tolérance. Quand on voit ce que ce mot sert à faire accepter à l'opinion publique, on ne peut qu'avoir des doutes sur la compassion pour le genre humain de ceux qui s'en servent. En effet, comment admettre que la laideur, la vulgarité, la bêtise (lorsqu'il s'agit d'accepter l'invasion migratoire de pays sous-développés) s'imposent à nous ? Parviendrons-nous grâce à cette nouvelle conduite morale à construire un monde meilleur ? J'en doute fortement. A moins que les valeurs soient définitivement totalement inversées, processus antinaturel d'évolution soutenu par la télévision, le monde de la "culture", et l'école "républicaine", et que la laideur apparaisse désormais comme étant la beauté. Projet de société satanique qui ne peut servir que l'hyperclasse mondialisée et mondialiste qui se moque du monde. La victoire de Conchita Wurst à l'eurovision est, ne nous y trompions pas, un "foutage de gueule" monumental envoyé par elle aux millions de gogos qui devant leur poste de télévision ont pu être charmés ou enthousiasmés par la victoire de ce comique échantillon d'humanité frelatée. Enfin, on peut se consoler en songeant au fait que ce mauvais moment est passé et qu'on n'entendra plus beaucoup parler de Thomas Neuwirth. Tiens j'aimerais bien savoir ce qu'il sera devenu dans quelques années, le pauvre.

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